Tuesday, 27 September 2016

Chapitre 2 - Meurtres pour mémoire



Premièrement, je donnerai un résumé succinct du chapitre 2, Puis, je souhaite de souligner les exemples de violence et d’ignorance partout ce chapitre. Ce livre est basé sur le massacre du 17 octobre 1961. Donc, il y a des faits réels et bien sur la fiction surtout les personnages.

Source: Georges Azenstarck, 17 octobre 1961
                            
Ce chapitre découle du chapitre précédent quand Saïd, Roger et Kaïra se croisent au métro Bonne Nouvelle à 19 heures 25. Un coup de sifflet relance la manifestation et «des centaines de musulmans disséminés» dans tous les sens. Comme je l’ai indiqué dans le blog post dernier, ces Algériens désiraient de manifester pacifiquement contre le couvre-feu le soir du 17 octobre 1961. Cependant, les CRS lancent une attaque sur les «Français musulmans» (Didier Daeninckx, Meurtres pour Mémoire, pgs. 27- 29). Les CRS exécutent une extrême brutalité pour qu’ils puissent tuer et blesser les Algériens étourdis. Saïd Milache meurt dans le massacre. Sur la touche, Roger Thiraud observe tous les scènes choquant. Étonnamment, Roger Thiraud est tué à la fin du chapitre.




Sans aucun doute, les thèmes principaux qui se présentent sont la violence et l’ignorance. L’auteur utilise la violence pour indiquer clairement que ce massacre des civils innocents s’est passé. Les CRS sont lourdement armés avec « des matraques de bois, des grenades des lacrymogènes, des bidules et des armes de poing. » Le lecteur est inondé avec des adjectifs, des noms et des verbes brutaux ; « le martèlement », « nombreux musulmans étaient criblée d’impacts », « frapper » et « une pluie de balles ». À propos de la démise de Roger Thiraud, on est confronté au meurtre méthodique et au éclatement du crane de Roger Thiraud. 
(Didier Daeninckx, Meurtres pour Mémoire, pgs. 30-33)                                                                                                                                                                                                                              
Finalement, l’ignorance et l’indifférence des certains gens partout le chapitre est odieux. Les termes péjoratifs et racistes sont fréquemment utilisés par certains personnages français pour décrire les Algériens ; « tous ces fellouzes » « un bicot ». Roger Thiraud ne comprend pas l’indifférence aux malheurs et à la souffrance des Algériens. Le directeur du théâtre est préoccupé par « notre première débute » alors que les Algériens sont persécutés. (Didier Daeninckx, Meurtres pour Mémoire, pgs. 28-38)

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