Premièrement, je donnerai un résumé succinct
du chapitre 2, Puis, je souhaite de souligner les exemples de violence et
d’ignorance partout ce chapitre. Ce livre est basé sur le massacre du 17
octobre 1961. Donc, il y a des faits réels et bien sur la fiction surtout les
personnages.
Source: Georges Azenstarck, 17 octobre 1961 |
Ce chapitre découle du chapitre précédent
quand Saïd, Roger et Kaïra se croisent au métro Bonne Nouvelle à 19 heures 25.
Un coup de sifflet relance la manifestation et «des centaines de musulmans
disséminés» dans tous les sens. Comme je l’ai indiqué dans le blog post
dernier, ces Algériens désiraient de manifester pacifiquement contre le
couvre-feu le soir du 17 octobre 1961. Cependant, les CRS lancent une attaque
sur les «Français musulmans» (Didier Daeninckx, Meurtres pour Mémoire, pgs. 27-
29). Les CRS exécutent une extrême brutalité pour qu’ils puissent tuer et
blesser les Algériens étourdis. Saïd Milache meurt dans le massacre. Sur la
touche, Roger Thiraud observe tous les scènes choquant. Étonnamment, Roger
Thiraud est tué à la fin du chapitre.
Sans aucun doute, les thèmes principaux qui se présentent sont la violence et l’ignorance. L’auteur utilise la violence pour indiquer clairement que ce massacre des civils innocents s’est passé. Les CRS sont lourdement armés avec « des matraques de bois, des grenades des lacrymogènes, des bidules et des armes de poing. » Le lecteur est inondé avec des adjectifs, des noms et des verbes brutaux ; « le martèlement », « nombreux musulmans étaient criblée d’impacts », « frapper » et « une pluie de balles ». À propos de la démise de Roger Thiraud, on est confronté au meurtre méthodique et au éclatement du crane de Roger Thiraud.
(Didier Daeninckx, Meurtres pour Mémoire, pgs. 30-33)
Finalement, l’ignorance et l’indifférence des
certains gens partout le chapitre est odieux. Les termes péjoratifs et racistes
sont fréquemment utilisés par certains personnages français pour décrire les
Algériens ; « tous ces fellouzes » « un bicot ». Roger Thiraud ne comprend
pas l’indifférence aux malheurs et à la souffrance des Algériens. Le directeur
du théâtre est préoccupé par « notre première débute » alors que les Algériens
sont persécutés. (Didier Daeninckx, Meurtres pour Mémoire, pgs. 28-38)
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