Tuesday, 18 October 2016

Chapitre 4 - Meurtres pour mémoire

Chapitre 4
La question centrale du chapitre 4 est le lien entre le mort de Bernard Thiraud et son père Roger Thiraud. Cadin commence d’enquêter «les circonstances dramatiques» de la mort de Roger. A cet effet, le lecteur acquiert une meilleure compréhension d’inspecteur Cadin.

Premièrement, Cadin n’est pas timide d’exprimer ses sentiments pour Claudine Chenet. Cadin est déterminé pour passer du temps avec Claudine, donc il saisit l’occasion d’accompagner Claudine pour le voyage à Paris. Pour lui, «Claudine n’était plus une simple cliente» (Daeninckx, p. 69). Ainsi, l’inspecteur tente de séduire la copine de Bernard. Il avoue aussi que ce n’est pas la première fois qu’il est tombe amoureux de témoins ou de victimes.

Deuxièmement, Cadin montre sa ténacité et sa persistance en découvrant la vérité. Il rencontre Dalbois, une ancienne camarde, qui travaille au Renseignements Généraux dans le service d’Intelligence. D’abord, Dalbois est très hésitant de divulguer des renseignements sur le sujet de 17 octobre 1961, «s’était mue en gardien du temple» (Daeninckx, p. 74). Cependant, petit à petit, Cadin obtient les informations pertinentes de poursuivre l’enquête.

De plus,  Cadin s’oriente vers sa carrière. Il est professionnel. Sur la question du mariage, Cadin dit à Dalbois qu’il n’a pas le temps de s’établir et fonder une famille. Alors, l’inspecteur est un personnage passionné, en comparaison de Dalbois qui est banale, bien casse et s’est marié pour les mauvaises raisons. 

Monday, 17 October 2016

Chapitre 3 - Meurtres pour mémoire

Chapitre 3

Dans ce chapitre, le lecteur découvre l’inspecteur Cadin. L’inspecteur Cadin tente de rassembler les indices entourant l’enquête de la mort de Bernard Thiraud, le fils de Roger Thiraud. De plus, on procure une plus grande compréhension d’inspecteur Cadin. Donc, les thèmes d’un roman policier se présentent pendant ce chapitre.

La scène du meurtre de Bernard Thiraud termine avec l’image du « cadavre allongé sur le trottoir» (Daeninckx, p.44). Ce moment marque le début d’un roman policier dans lequel l’inspecteur Cadin joue le protagoniste. Les autres personnages jouent les rôles qui sont normalement associes aux romans policiers. On rencontre le brigadier du commissariat, Lardenne et le brigadier-chef Bourrassol. Tous les deux aident et facilitent le domaine d’enquête dirige par Cadin.

Dans le cadre de l’enquête, en découvrant l’arme du crime, Cadin déduit clairement le fabricant et donc l’origine de l’arme. Sans doute, Cadin démontre son intelligence et son aptitude en identifiant les indices. On apprend que le pistolet est un «Llama Especial» de «l’usine qui est située dans la province de Guipúzcoa» (Daeninckx, p.49). Cadin rencontre Claudine Chenet, la copine de la victime. D’après Claudine, le père de Bernard est mort «dans les circonstances dramatiques» (Daeninckx, p.52). Sans doute, le lecteur suivre l’inspecteur. Donc, le lecteur sait instinctivement que Cadin va essayer de faire le lien entre les deux morts.

Finalement, les autres indices que Cadin et son équipe trouvent sont un profil du tueur et sa voiture. La voiture était une Renault 30 TX noir de Paris. Le témoin décrive l’assassin comme «un mec plein de flic» et «au moins de soixante ans» (Daeninckx, pgs. 53-54). Cadin constate que le comportement de l’assassin est méfiant. Normalement, un tueur professionnel tire une balle ou deux au maximum sur la cible, mais ce tueur utilise six balles. Encore une fois, Cadin identifie rapidement le mécanisme de la pensée du tueur, et que «le meurtrier était directement implique» (Daeninckx, pg. 58). Enfin, la dernière pièce du casse-tête est qu’avant sa mort, Bernard cherchait des documents sur le sujet de déportation en 1942.