Chapitre 5
Dans le chapitre 5, l’inspecteur Cadin rencontre Marc Rosner
et M. Déril de la télévision Belge, la R.T.B.F. C’est l’occasion pour l’auteur
de souligner la brutalité de la manifestation selon différentes perspectives. Ce
chapitre commence dans le studio de Marc Rosner. Précédemment, on a appris que
Marc Rosner a témoigné le massacre d’octobre 17 1961 parce qu’il était le Photographe
du Service pour les Renseignements Généraux. Cependant, apparemment, il a été licencié
à cause des photos qu’il a prises la nuit des attentats.
Donc, Cadin demande à Rosner pour sa perspective de cette
nuit en 1961. C’est intéressant que la première chose que Roser dit sur le
sujet c’est que «les manifestants n’avaient pas d’armes, a aucun moment ils n’ont
essayé d’organiser une riposte.» Alors, ce fait souligne que les manifestants étaient
attaqués et massacrés. Rosner montre la disparité entre les Algériens et les
CRS. Les CRS sont décrits comme inhumains et des monstres. Selon Rosner, ils étaient
« armés jusqu’aux dents, dingues et bêtes féroces. » Cadin et le lecteur apprennent
que le «plus grand nombre de morts », 48 Algériens en totale, se sont produits à
l’intérieur de la Préfecture.
«Le photographe
n’est pas un témoin ; son film est là pour jouer ce rôle.»
Aux Bruxelles, Cadin rencontre M. Deril pour voir les
bobines de la R.T.B.F d’octobre 1961. Daeninckx tente de créer une atmosphère inquiétante
quand Cadin regarde les bobines. L’absence de son rend les images plus «
insoutenables» et plus violents. Les images sont destinées à donner un choc au
lecteur.
«Un corps fut précipité
dans l’eau. Un autre suivit, puis un autre encore. Le même geste répété onze
fois»
Finalement, Cadin découvre ce qu’il cherche, le CRS qui
suivre Roger Thiraud. Donc Cadin réussit à découvrir le profil du CRS.
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