Thursday, 1 December 2016

Chapitre 7 - Meurtres pour mémoire

Chapitre 7

Dans ce chapitre, on apprend que la machine de l’état contrôle les individus pour cacher la vérité. Pour résoudre l’énigme du meurtre de Bernard Thiraud, l’inspecteur Cadin sollicite l’aide de Dalbois. Donc, Dalbois trouve l’identité de l’homme CRS qui a tué Roger Thiraud pendant la manifestation de 17 octobre 1961. Il se nomme Pierre Cazes. Cependant, l’avertissement de Dalbois est intéressant. D’après lui, si l’inspecteur Cadin fait une erreur, « ce n’est plus sur des œufs qu’ [il marche], mais sur une poudrière » (Daeninckx, 1984, p. 148). Cette logique de Dalbois est au cœur du roman. Daeninckx tente de dénoncer l’autorité de l’état.


De plus, dans ce chapitre, Daeninckx présente l’idée que des gens dans la société française à l’époque doivent suivre des ordres. Quand, l’inspecteur Cadin rencontre Pierre Cazes, l’assassin de Bernard Thiraud, Cazes exprime qu’il avait des ordres, et « je me devais d’y obéir » (Daeninckx, 1984, p. 153). De plus, Daeninckx souligne que le commissaire Matabiau souhaite de conserver une bonne réputation. Matabiau ne veut pas son « nom soit mêlé » (Daeninckx, 1984, p. 168). Simplement, il veut la paix. Par contre, la logique de Cadin est le contraire de la majorité. 

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