Chapitre 7
Dans ce chapitre, on apprend que la machine de l’état contrôle
les individus pour cacher la vérité. Pour résoudre l’énigme du meurtre de
Bernard Thiraud, l’inspecteur Cadin sollicite l’aide de Dalbois. Donc, Dalbois trouve
l’identité de l’homme CRS qui a tué Roger Thiraud pendant la manifestation de
17 octobre 1961. Il se nomme Pierre Cazes. Cependant, l’avertissement de
Dalbois est intéressant. D’après lui, si l’inspecteur Cadin fait une erreur, «
ce n’est plus sur des œufs qu’ [il marche], mais sur une poudrière »
(Daeninckx, 1984, p. 148). Cette logique de Dalbois est au cœur du roman.
Daeninckx tente de dénoncer l’autorité de l’état.
De plus, dans ce chapitre, Daeninckx présente l’idée que des
gens dans la société française à l’époque doivent suivre des ordres. Quand, l’inspecteur
Cadin rencontre Pierre Cazes, l’assassin de Bernard Thiraud, Cazes exprime qu’il
avait des ordres, et « je me devais d’y obéir » (Daeninckx, 1984, p. 153). De
plus, Daeninckx souligne que le commissaire Matabiau souhaite de conserver une
bonne réputation. Matabiau ne veut pas son « nom soit mêlé » (Daeninckx, 1984,
p. 168). Simplement, il veut la paix. Par contre, la logique de Cadin est le
contraire de la majorité.
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